La réalité virtuelle, ça se mange ?
En octobre 2016, les clients des restaurants McDonald’s toulousains de Compans, Wilson et Capitole ont pu vivre une expérience unique. McDonald’s a choisi Aestetype pour accompagner ses premiers pas dans la réalité virtuelle en France. Une grande première pour la célèbre chaîne de restaurants !
Avis aux curieux, RDV chez McDo pour une nouvelle expérience ! @Aestetype @Futurapolis #VRyMcGame #RealiteVirtuelle pic.twitter.com/rxNGKZvYaA
— McDonald's Toulouse (@mcdonaldstoulo1) October 20, 2016
Elle a permis aux toulousains d’avoir un avant-goût de Futurapolis accessible au plus grand nombre au cœur de la ville, quelques jours avant l’événement. Comme le souligne Anne Defrance, directrice Marketing et Communication : « Qui mieux que Mc Donald’s accueille un public de tous âges et toutes origines ? »
Sur les 3 jours d’animation, plus de 800 clients des 3 restaurants ont enfilé un casque de réalité virtuelle pour essayer d’exploser le record du VRy McGame, le jeu conçu par Aestetype.
Les scores des 3 restaurants étaient enregistrés et comparés en temps réel. Les participants se sont challengés à distance simultanément avec un record final à 30 220 points, qui dit mieux ?
on s'amuse chez McDonald's Wilson, Capitole et Compans ! ! Venez tester ? #VRyMcGame #realitévirtuelle pic.twitter.com/EAh8j72EsZ
— McDonald's Toulouse (@mcdonaldstoulo1) October 21, 2016
Le but du jeu ? Simplissime et très ludique :
En déplaçant votre regard (et le casque VR sur votre tête qui bouge dans le même temps) tout autour de vous à 360°, vous visez et capturez d’un simple regard appuyé les frites, burgers et autres nuggets qui apparaissent autour de vous et restent un court instant dans votre viseur. Et vos amis peuvent voir et encourager vos exploits sur un écran qui diffuse ce que vous voyez dans le casque.
Pendant 1 minute, le joueur fait l’expérience de posséder un regard laser qui lui permet d’attraper le plus d’objets possibles en cherchant dans toutes les directions. Une bonne occasion de manger/bouger comme préconisé par l’INPES et de constater que si la réalité virtuelle ne se mange pas vraiment, elle met l’eau à la bouche !
On s’amuse bien, certes, mais mettre des casques de réalité virtuelle entre les frites et le Big Mac, pourquoi faire ?
« L’idée de créer un jeu me trottait dans la tête depuis très longtemps et l’opportunité s’est présentée quand on a créé ce partenariat avec Futurapolis », nous répond Anne Defrance
Ophélie Ducombs assistante marketing et communication